Cela est dû au fait que les
systèmes biologiques ont des usages multiples : le même signal ou la même
molécule peuvent être employés simultanément par différents organes ou tissus –
où ils occupent des fonctions distinctes – ce qui nous permet de survivre avec
beaucoup moins de gènes que ne l’ont cru les généticiens. On peut comparer cela
à l’usage des vingt-six lettres de l’alphabet pour construire tous les mots
d’une langue.
Cette économie de gènes
s’accompagne d’une caractéristique ingénieuse qui permet à un même signal de se
manifester de manière spécifique. Par exemple, une piqûre d’ortie sur le bras
provoque une démangeaison localisée provenant de la production d’histamine, le
signal moléculaire activant une réaction inflammatoire à l’allergène de la
plante. Puisqu’il n’est pas nécessaire d’agir sur tout le corps, l’histamine
est libérée uniquement à l’endroit de
l’irritation. De même, en cas de stress, la production d’histamine dans le
cerveau augmente le flux sanguin dirigé vers les tissus nerveux, facilitant les
processus neurologiques nécessaires à la survie. Elle n’entraîne pas de
réaction ailleurs dans le corps. L’histamine est déployée uniquement là où elle
est nécessaire et aussi longtemps qu’il le faut.
La plupart des produits
pharmaceutiques n’ont cependant pas cette spécificité. Lorsque vous prenez un
antihistaminique pour apaiser une démangeaison d’origine allergique, le médicament
est distribué de façon systémique et affecte donc les récepteurs d’histamine
partout où ils se trouvent dans le corps. C’est pourquoi il altère incidemment
la circulation neuronale qui à son tour altère la fonction nerveuse, d’où les
effets secondaires de somnolence.
Dans la même logique,
l’hormonothérapie de substitution peut entraîner des maladies cardiovasculaires
et neuronales. Les effets secondaires indésirables expliquent pourquoi les
maladies iatrogéniques (d’origine médicamenteuse) figurent parmi les
principales causes de décès.
Il est navrant de voir l’Industrie de la santé continuer de
rejeter avec arrogance trois mille ans de médecine orientale en la qualifiant
de non scientifique. Bien avant que les Occidentaux ne découvrent les lois de la
physique quantique, les Orientaux reconnaissaient l’énergie (le chi) comme principal facteur de santé et
de bien-être. Le réseau complexe de canaux d’énergie appelés méridiens sur lequel travaille le
médecin chinois ressemble à un schéma de câblage électronique.
La médecine ignore les lois de la mécanique quantique
Au cours des
cinquante dernières années, des centaines d’études scientifiques ont révélé que
les « forces invisibles » du spectre électromagnétique contrôlent la
régulation des gènes, la division cellulaire, la sécrétion d’hormones et le
fonctionnement des nerfs. Parmi ces forces invisibles figurent les micro-ondes,
les très basses fréquences, les fréquences radio et acoustiques ou le spectre
de la lumière visible. Bien que ces études aient été publiées dans certains des
journaux biomédicaux les plus respectés, à de rares exceptions, leurs
conclusions révolutionnaires ne sont toujours pas intégrées au programme des
écoles de médecine.
Une importante
étude menée il y a 40 ans révélait que les mécanismes de signaux énergétiques –
entre autres les fréquences électromagnétiques – sont cent fois plus efficaces
pour transmettre l’information environnementale que les signaux physiques tels
les hormones, les neurotransmetteurs, les facteurs de croissance, etc. De plus,
la vitesse de transmission des signaux électromagnétiques est de 300 000
kilomètres seconde, alors que la vitesse d’un élément chimique diffusible se
situe en dessous d’un centimètre seconde.
La façon
simpliste de définir un trouble par ses symptômes finit par convaincre le
patient que tel est son problème, et l’usage de médicaments destinés à les
étouffer lui permet d’ignorer sa part de responsabilité quand à leur cause
réelle. Supprimer les symptômes revient ni plus ni moins à retirer les ampoules
des voyants d’alerte de notre voiture. On nous serine que l’usage des drogues
illicites pour fuir les problèmes de la vie n’est pas une solution, et tandis
que notre attention est mobilisée sur leurs dangers, elle est détournée de la
question des maladies et décès – infiniment plus nombreux – causés par les
drogues légales que sont les médicaments.
Les thérapies énergétiques ne rapporteront jamais rien
aux laboratoires pharmaceutiques. Il y a donc peu de chances que des fonds de
recherche leur soient attribués. Sans cet appui, leur pratique continuera
d’être officiellement qualifiée de « non scientifique ».
Interférences constructives (résonance harmonique) et destructives
Bien que la
médecine traditionnelle n’ait toujours pas approfondi le rôle informatif joué
par l’énergie dans les systèmes vivants, elle a tout de même adopté certaines
techniques d’exploration non invasives pour lire les champs énergétiques. Les
appareils à IRM et les tomographes permettent d’analyser les fréquences
spécifiques émises par les éléments chimiques et de lire les spectres d’énergie
émis par les tissus et les organes. Un tissu « malade » émet une
signature différente de celle des cellules saines avoisinantes.
Les signatures
énergétiques qui traversent nos corps se déplacent dans l’espace sous forme
d’ondes invisibles, à l’image des ondulations sur un lac provoquées par le jet
de cailloux. Si plusieurs cailloux sont jetés en même temps, les ondes
d’énergie provoquées par chaque caillou sont à même d’interférer entre elles.
Quand deux cailloux de taille égale sont jetés de la même hauteur, au même
moment, leurs ondulations convergent et s’amplifient : ce phénomène est
appelé interférence constructive ou résonance
harmonique. Lorsque ces cailloux tombent sans coordination, leurs ondes
d’énergie sont déphasées et s’annulent mutuellement à leur point de rencontre.
Ce phénomène est appelé interférence destructive : c’est le calme plat.
Les atomes, en constant
mouvement, émettent des ondes similaires. Chaque atome possède une vibration et
une fréquence propre. On peut modifier la course d’un atome en l’exposant à des
vibrations, en résonance ou non selon l’effet recherché. Ces vibrations peuvent
être d’origine électromagnétique (rayon laser) ou acoustique. Par exemple, une
note tenue en résonance harmonique avec les atomes d’un verre de cristal finit
par le faire éclater : l’énergie des ondes sonores absorbées par les
atomes du verre accélère leur vibration et les libère des liaisons qui les
maintiennent ensemble.