C2. LE LIEN ENTRE ÉNERGIE ET MATIÈRE




La physique quantique démontre le lien
entre énergie et matière

La physique est la base de toute science. Les biologistes traditionnels adhérent au monde physique visible de Newton et ignorent le monde invisible et quantique d’Einstein, où la matière est constituée d’énergie et où les absolus n’existent pas. Il est pourtant évident que la physique newtonienne, aussi rassurante soit-elle pour les scientifiques hyper rationnels, n’explique pas un grand nombre de phénomènes qu’elle qualifie de paranormaux : guérisons spontanées, cas d’extrême force ou d’extrême endurance (en situation d’urgence), marche sur des charbons ardents sans se brûler, acupuncture et autres formes de thérapie fondées sur la compréhension des champs d’énergie.
La physique quantique a permis de découvrir que nous ne vivons pas dans un univers fait d’objets physiques distincts, séparés par le vide, mais que l’univers est un tout indivisible et dynamique où l’énergie et la matière sont si profondément enchevêtrées qu’il est impossible de les considérer comme des éléments indépendants.

Il n’y a pas d’effets secondaires, il n’y a que des effets
Malgré ces découvertes qui auraient dû révolutionner la compréhension biomédicale de la santé et de la maladie depuis 80 ans, les biologistes traditionnels croient pouvoir comprendre les mécanismes des corps physiques en isolant des cellules afin d’en étudier les éléments chimiques. Selon eux, les réactions biochimiques responsables de la vie se font comme sur des chaînes de montage : un élément chimique entraîne une réaction, suivie de la réaction d’une autre élément, etc., selon une transmission linéaire de l’information. D’après ce modèle réductionniste, si un problème survient dans le système, il peut être attribuable à un mauvais fonctionnement à l’une des étapes de la chaîne. En remplaçant l’élément fautif de la cellule par une pièce de rechange fonctionnelle, à l’aide de produits pharmaceutiques par exemple, la partie défectueuse peut théoriquement être réparée et la santé recouvrée. Ils ignorent totalement la complexité de l’intercommunication entre la matière physique et les champs d’énergie, et l’immense interconnectivité des réseaux d’information d’une cellule.
Un dysfonctionnement biologique peut provenir d’une mauvaise communication dans n’importe laquelle de ces voies d’information. L’ajustement chimique de ce système interactif est infiniment plus subtil que celui d’une molécule spécifique à l’aide d’un médicament : lorsque vous changez les paramètres d’une protéine en un point donné d’un réseau si complexe, vous altérez inévitablement les paramètres d’autres protéines en d’innombrables points du réseau.

CIRCULATION DE L'INFORMATION




Cela est dû au fait que les systèmes biologiques ont des usages multiples : le même signal ou la même molécule peuvent être employés simultanément par différents organes ou tissus – où ils occupent des fonctions distinctes – ce qui nous permet de survivre avec beaucoup moins de gènes que ne l’ont cru les généticiens. On peut comparer cela à l’usage des vingt-six lettres de l’alphabet pour construire tous les mots d’une langue.
Cette économie de gènes s’accompagne d’une caractéristique ingénieuse qui permet à un même signal de se manifester de manière spécifique. Par exemple, une piqûre d’ortie sur le bras provoque une démangeaison localisée provenant de la production d’histamine, le signal moléculaire activant une réaction inflammatoire à l’allergène de la plante. Puisqu’il n’est pas nécessaire d’agir sur tout le corps, l’histamine est libérée uniquement à l’endroit de l’irritation. De même, en cas de stress, la production d’histamine dans le cerveau augmente le flux sanguin dirigé vers les tissus nerveux, facilitant les processus neurologiques nécessaires à la survie. Elle n’entraîne pas de réaction ailleurs dans le corps. L’histamine est déployée uniquement là où elle est nécessaire et aussi longtemps qu’il le faut.
La plupart des produits pharmaceutiques n’ont cependant pas cette spécificité. Lorsque vous prenez un antihistaminique pour apaiser une démangeaison d’origine allergique, le médicament est distribué de façon systémique et affecte donc les récepteurs d’histamine partout où ils se trouvent dans le corps. C’est pourquoi il altère incidemment la circulation neuronale qui à son tour altère la fonction nerveuse, d’où les effets secondaires de somnolence.
Dans la même logique, l’hormonothérapie de substitution peut entraîner des maladies cardiovasculaires et neuronales. Les effets secondaires indésirables expliquent pourquoi les maladies iatrogéniques (d’origine médicamenteuse) figurent parmi les principales causes de décès.
Il est navrant de voir l’Industrie de la santé continuer de rejeter avec arrogance trois mille ans de médecine orientale en la qualifiant de non scientifique. Bien avant que les Occidentaux ne découvrent les lois de la physique quantique, les Orientaux reconnaissaient l’énergie (le chi) comme principal facteur de santé et de bien-être. Le réseau complexe de canaux d’énergie appelés méridiens sur lequel travaille le médecin chinois ressemble à un schéma de câblage électronique.

La médecine ignore les lois de la mécanique quantique
Au cours des cinquante dernières années, des centaines d’études scientifiques ont révélé que les « forces invisibles » du spectre électromagnétique contrôlent la régulation des gènes, la division cellulaire, la sécrétion d’hormones et le fonctionnement des nerfs. Parmi ces forces invisibles figurent les micro-ondes, les très basses fréquences, les fréquences radio et acoustiques ou le spectre de la lumière visible. Bien que ces études aient été publiées dans certains des journaux biomédicaux les plus respectés, à de rares exceptions, leurs conclusions révolutionnaires ne sont toujours pas intégrées au programme des écoles de médecine.
Une importante étude menée il y a 40 ans révélait que les mécanismes de signaux énergétiques – entre autres les fréquences électromagnétiques – sont cent fois plus efficaces pour transmettre l’information environnementale que les signaux physiques tels les hormones, les neurotransmetteurs, les facteurs de croissance, etc. De plus, la vitesse de transmission des signaux électromagnétiques est de 300 000 kilomètres seconde, alors que la vitesse d’un élément chimique diffusible se situe en dessous d’un centimètre seconde.
La façon simpliste de définir un trouble par ses symptômes finit par convaincre le patient que tel est son problème, et l’usage de médicaments destinés à les étouffer lui permet d’ignorer sa part de responsabilité quand à leur cause réelle. Supprimer les symptômes revient ni plus ni moins à retirer les ampoules des voyants d’alerte de notre voiture. On nous serine que l’usage des drogues illicites pour fuir les problèmes de la vie n’est pas une solution, et tandis que notre attention est mobilisée sur leurs dangers, elle est détournée de la question des maladies et décès – infiniment plus nombreux – causés par les drogues légales que sont les médicaments.
Les thérapies énergétiques ne rapporteront jamais rien aux laboratoires pharmaceutiques. Il y a donc peu de chances que des fonds de recherche leur soient attribués. Sans cet appui, leur pratique continuera d’être officiellement qualifiée de « non scientifique ».

Interférences constructives (résonance harmonique) et destructives
Bien que la médecine traditionnelle n’ait toujours pas approfondi le rôle informatif joué par l’énergie dans les systèmes vivants, elle a tout de même adopté certaines techniques d’exploration non invasives pour lire les champs énergétiques. Les appareils à IRM et les tomographes permettent d’analyser les fréquences spécifiques émises par les éléments chimiques et de lire les spectres d’énergie émis par les tissus et les organes. Un tissu « malade » émet une signature différente de celle des cellules saines avoisinantes.
Les signatures énergétiques qui traversent nos corps se déplacent dans l’espace sous forme d’ondes invisibles, à l’image des ondulations sur un lac provoquées par le jet de cailloux. Si plusieurs cailloux sont jetés en même temps, les ondes d’énergie provoquées par chaque caillou sont à même d’interférer entre elles. Quand deux cailloux de taille égale sont jetés de la même hauteur, au même moment, leurs ondulations convergent et s’amplifient : ce phénomène est appelé interférence constructive ou résonance harmonique. Lorsque ces cailloux tombent sans coordination, leurs ondes d’énergie sont déphasées et s’annulent mutuellement à leur point de rencontre. Ce phénomène est appelé interférence destructive : c’est le calme plat.
Les atomes, en constant mouvement, émettent des ondes similaires. Chaque atome possède une vibration et une fréquence propre. On peut modifier la course d’un atome en l’exposant à des vibrations, en résonance ou non selon l’effet recherché. Ces vibrations peuvent être d’origine électromagnétique (rayon laser) ou acoustique. Par exemple, une note tenue en résonance harmonique avec les atomes d’un verre de cristal finit par le faire éclater : l’énergie des ondes sonores absorbées par les atomes du verre accélère leur vibration et les libère des liaisons qui les maintiennent ensemble.



Interférence constructive
Interférence destructive
La possibilité de transformer une onde en agent thérapeutique est largement avérée[1] mais elle n’est guère utilisée en médecine que pour traiter les calculs rénaux : on dirige une fréquence harmonique sur les cristaux qui se dissolvent en petits fragments faciles à évacuer.
L’humain a négligé ses senseurs d’énergie en tant que système de communication et ce non-usage les a atrophiés. Chacun d’entre nous a pu avoir un aperçu de cet ancien mécanisme sensoriel. Par exemple se sentir soudainement vidé de toute énergie au contact d’une personne particulière ou inversement se sentir regonflé sans même avoir échangé une parole. Dans le jargon populaire, on parle de mauvaises ou de bonnes vibrations, d’ondes négatives ou positives :  autrement dit d’interférence destructive ou constructive.
On comprend alors combien il est important de favoriser les interférences constructives dans sa vie. Disperser son énergie sans réfléchir, dans certains types d’activités ou de pensées, c’est un peu comme chauffer une maison en plein hiver tout en gardant les fenêtres grandes ouvertes.


[1] NdCC : Voir notamment Le chant des protéines, chapitre Nature vibratoire du terrain dans la partie Terrain et Immunité.