PRÉAMBULE : UN NOUVEAU PARADIGME



PRÉAMBULE 

LE DÉFI D’UN NOUVEAU PARADIGME SCIENTIFIQUE


Un paradigme est un système de pensée provisoire. Toute science évolue par bascules successives d’un paradigme à l’autre, en même temps que se développent le niveau de conscience de la collectivité et les récepteurs cérébraux des chercheurs. Mais le passage est toujours délicat, parce que le pouvoir en place, l’autorité et la responsabilité de l’enseignement officiel sont généralement dans les mains de ceux qui professent l’ancien paradigme et qui en tirent un profit quel qu’il soit. Si nous admettons aujourd’hui que la terre tourne autour du soleil, c’est au prix de l’inquisition dont furent victimes Copernic puis Galilée. Dans notre monde « moderne », seules les méthodes ont changé.

FACE AU NON PENSABLE
Toute innovation est confrontée au scepticisme parce qu’elle enfreint les croyances établies. Face à une information nouvelle, chacun puise dans son répertoire de connaissances et d’expériences pour tenter de l’évaluer. Si cette information n’entre en résonance avec aucune référence intérieure et, de plus, menace les repères fondamentaux sur lesquels on s’appuie, il faut bien autre chose que de l’intelligence pour « percuter » la nouvelle donne et ses conséquences. Le cerveau se comporte alors comme un filtre protecteur qui évite à l’individu d’être déstructuré par un bouleversement incompatible avec ses capacités présentes d’adaptation. On observe alors de violentes réactions de défense ou de fuite ![1]

En ce sens, la biologie quantique et ses applications sont de véritables détonateurs. Elles nous ouvrent à la logique du vivant, qui s’applique à TOUS les domaines qui nous concernent, de la santé à la politique, en passant par l’économie.

POURQUOI LA NOUVELLE BIOLOGIE DÉRANGE AUTANT


La nouvelle biologie contredit nombre de croyances actuelles. Elle intègre pourtant les données de la physique quantique, des Champs informationnels, de l’épigénétique… Autant de disciplines qui passionnent depuis longtemps les scientifiques de pointe, mais sont ignorées par la médecine d’école pasteurienne et souvent aussi par les praticiens des médecines « alternatives » qui englobent pêle-mêle médecines traditionnelles, douces ou énergétiques[2].
Les données concernant la biologie quantique sont des sciences naturelles et non une énième méthode thérapeutique. La confusion entretenue entre 1) les principes fondamentaux, 2) les méthodes qui s’y réfèrent, et 3) leurs applications, fait le jeu de tous ceux qui ont intérêt à ce que rien ne change. Les lois de la Médecine Nouvelle, irréfutées à ce jour, sont un exemple de « principes » présentés par les détracteurs du Dr. Hamer comme une « méthode » aux résultats contestables[3].
La nouvelle biologie dérange aussi tous les « patients » qui n’ont pas envie de devenir autonomes, leur croyance profonde étant qu’ils n’en sont pas capables. « Si quelqu’un te demande de le guérir, demande lui s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. » Telle est la question déjà posée il y a 2000 ans par Sénèque.
Certaines traditions anciennes savaient empiriquement ce que nous redécouvrons aujourd’hui : elles sont réduites à du folklore par la « science ». De fait, le plus sûr moyen de détruire une idée dérangeante est de la ridiculiser. Mais, comme disait Victor Hugo, il n’y a rien de plus  puissant qu’une idée dont le temps est venu[4] ! Tous les espoirs sont donc permis…


[1] Selon Jacqueline Bousquet "Il faut avoir non seulement l'esprit ouvert, mais aussi des structures de base suffisamment solides pour "supporter" la nouvelle information. Ceci est une illustration du fonctionnement du système immunitaire qui, dans un premier temps, rejette ce qui est sans signification pour son système de références et qui, dans un deuxième temps, va mobiliser ses forces pour essayer d'intégrer l'information parasite (...) . Ce mécanisme, bien que non encore reconnu, est à la base de l'adaptation." Le Réveil de la conscience, p.186.
[2] Les médecines dites « douces » s’exercent souvent dans le cadre du même paradigme que la médecine conventionnelle. A ne pas confondre avec les médecines subtiles, vibratoires, quel que soit leur nom, dont l’action ciblée sur l’origine du problème peut être extrêmement puissante et rapide, et demande des compétences avérées.
[3] Les principes ne soignent pas, ils expliquent et leur compréhension devrait fonder rigoureusement l’approche thérapeutique. Comment évaluer une méthode qui s’appuie sur des principes et des diagnostics faux ?
[4] Selon un phénomène de résonance bien compris aujourd’hui et développé dans la suite de l’exposé.


APPROCHE ÉLÉMENTAIRE DE LA SANTÉ

selon Jean-Jacques Crèvecoeur[1]

Tout être humain aspire à l’équilibre, car il pressent que celui-ci est la clé de sa santé, de son bien-être et de son bonheur. Son drame, c’est qu’il confond équilibre et statisme, rigidité. Malheureusement, cet équilibre-là ne caractérise que les objets inanimés. S’il veut rester vivant, il devra trouver son équilibre dans le mouvement permanent. A l’instar du vélo, tant qu’il pédalera, il retardera le moment de sa chute, instant après instant, dans un équilibre dynamique. […]
Pour survivre, l’être humain doit être capable de prendre soin de tous ses besoins, en permanence… Abraham Maslow a classé ces besoins dans un ordre correspondant au caractère vital de chaque niveau. Les besoins les plus vitaux sont les besoins physiologiques. Ensuite, les besoins de sécurité, d’appartenance et de reconnaissance appartiennent à notre vie psychologique, relationnelle et affective. Enfin, les besoins d’auto-réalisation guident notre vie spirituelle.
Prendre soin de soi-même, c’est respecter et faire respecter inconditionnellement l’ensemble de nos besoins. […]
Lorsqu’un besoin particulier est en équilibre, nous nous trouvons dans une zone de confort. Plus nous nous éloignons de l’équilibre, plus nous ressentons un malaise, dont l’intensité croît à mesure que notre besoin est en manque ou en excès. Nous entrons alors dans une zone de stress, puis de sur-stress. Si rien n’est entrepris pour ramener le besoin à l’équilibre, nous mourons, tout simplement.
Notre vie et notre survie dépendent de la responsabilité que nous prenons à respecter nos besoins en toutes circonstances.

[1] Texte adapté de la préface de Prenez soin de vous, n’attendez pas que les autres le fassent !


APPROCHE ÉLÉMENTAIRE DE LA MALADIE

développée plus spécifiquement dans la partie Médecine Nouvelle

La nature ne fait rien de malin ni de bénin, elle n’a pas de défaillances, même si ce qu’elle fait ne nous convient pas, faute d’en saisir l’utilité. Tous les phénomènes ont un sens biologique qui nous indique en soi comment les gérer. Cette compréhension nous redonne l’entière responsabilité de nos vies et révèle notre pouvoir d’auto guérison. Elle nous libère aussi de la peur associée aux noms mythiques des maladies, étiquettes dénuées de sens. Ainsi le cancer est un processus organisé, contrôlé en permanence par le cerveau, ciblé de manière précise et non aléatoire sur un organe particulier, sa guérison répond à une logique : aux antipodes de la conception classique d’un développement anarchique et incontrôlé.
La théorie des Champs nous permet de comprendre que la maladie ne prend pas naissance dans le corps physique. Elle est générée par une rupture de rythme, un affaissement du taux vibratoire, conséquence de l’action d’un stress sur le Champ correspondant.
Faute de comprendre la notion de « résonance », on attribue la cause de notre problème au déclencheur qui le rend manifeste : microbes, allergènes, platanes au bord de la route, etc.

Toute maladie est un Programme Biologique de la Nature qui démarre dans le Champ informationnel de l’individu, se produit et se développe simultanément aux niveaux psychique, cérébral et organique :
nos cellules sont aux ordres de nos croyances.

En tant que processus bien fondé et cohérent, la maladie évolue selon deux phases :
Une phase conflictuelle (stress) où l’on s’éloigne de l’équilibre concernant un besoin physiologique ou psychologique particulier afin de répondre à une urgence (cf. la voiture en surrégime pour réagir face au danger) : phase généralement occultée, négligée ou minimisée.
Une phase de réparation (détente) où l’on ramène le besoin à l’équilibre : phase la plus symptomatique et la plus douloureuse, inflammatoire ou infectieuse, qui déclenche la panique médicale et la mise à feu de l’artillerie lourde.
Les microbes sont toujours les témoins endogènes de l’état du terrain et les acteurs de la réparation. Il est donc essentiel d’accompagner leur action et non de la contrecarrer.

Comprendre la Médecine Nouvelle constitue un système de prévention sans précédent.
 



APPROCHE ÉLÉMENTAIRE DE LA GUÉRISON

développée au fil des quatre parties

Il semble utile de préciser que l’on entend par guérison le retour à la santé, c’est-à-dire à l’état d’équilibre, et non la disparition des symptômes.
Tout processus de guérison implique deux conditions fondamentales :

1.  Reconnaître et accepter la situation pour ce qu’elle est – matériellement, physiquement et émotionnellement – comme un point de départ incontournable.

2. Faire le choix de guérir, de toutes les fibres de son être, et s’engager à 100% dans la résolution du conflit à l’origine du processus « pathologique ». La nouvelle biologie démontre les effets « placebo » d’un tel choix, fondé sur la confiance en ses propres ressources, à l’inverse d’un choix mental, fondé sur la peur, qui produit des effets « nocebo » et engendre le découragement. Distinguer entre ces deux attitudes demande de travailler sur ses motivations profondes et de se faire accompagner si nécessaire. Qu’ils le formulent ainsi ou autrement, les gens qui guérissent d’une « grave » maladie ont tous fait ce choix de l’être, se libérant chemin faisant de conditionnements destructeurs.
La guérison ne s’obtient pas en appliquant une recette, surtout lorsque le déséquilibre a dégénéré en maladie chronique ou grave. Comprendre intellectuellement la nature du conflit psychobiologique exprimé par l’organisme est souvent une étape déterminante mais ne suffit pas en soi à le résoudre : le message réparateur doit s’imprégner au niveau émotionnel et vibratoire pour atteindre nos cellules.
La guérison obtenue par l’intermédiaire de la médecine chimique obéit à la même règle. Etant donné la toxicité de certains traitements, on peut alors dire que l’on a guéri malgré les médicaments : cette étape a donc une utilité « placebo » pour ceux qui l’associent à la résolution de leurs conflits, faute de comprendre leur propre fonctionnement. Cependant le plus souvent ces remèdes suppriment le symptôme, c’est-à-dire le signal d’alarme, et reportent le problème ou le déplacent vers une autre partie du corps.
Le patient est le véritable acteur de sa réparation et le médecin devrait l’accompagner dans ce travail au lieu de prétendre se substituer à lui[1].
Mais ces deux conditions – et donc la guérison – seront grandement facilitées si l’on ajoute un troisième paramètre :
3. Démystifier la notion de maladie, comprendre sa genèse, son déroulement et sa résolution : pour cela, nul besoin d’avoir fait des études scientifiques, le simple bon sens permettra à chacun de s’approprier le niveau d’information qui lui est nécessaire pour faire des choix médicaux lui correspondant. A condition bien sûr de chercher au bon endroit !
Il devient donc nécessaire de s’éloigner des chercheurs de la médecine d’école pasteurienne qui considèrent l’être humain comme un sac de réactions physico-chimiques, victime du hasard ou des circonstances : leurs recherches dans ce contexte étriqué, orientées par des intérêts financiers, sont aussi inutiles que de chercher par commodité ses clés au pied d’un réverbère alors qu’on les a perdues dans un fossé obscur en contrebas.
Cet exposé a pour objectif de contribuer à la compréhension et à la diffusion de ce troisième paramètre. Si son contenu vous parle, comme il m’a parlé un jour, que vous soyez malade ou en pleine santé, il se peut que vous ayez l’impression de vous réveiller après un très long cauchemar collectif…
LA PEUR, LE PREMIER ET LE SEUL VIRUS A ÉRADIQUER
La Peste était en route vers Damas et croisa la caravane d’un chef dans le désert.
« Où allez vous si vite ? » s’enquit le chef. « A Damas, j’ai l’intention d’y prendre mille vies. » Au retour de Damas, la Peste croisa de nouveau la caravane. Le chef dit : « C’est cinquante mille vies que vous avez prises, non mille ». « Non, dit la Peste. J’en ai pris mille. C’est la Peur qui a pris le reste. »
Histoires d'humour et de sagesse, Anthony de Mello


[1] Au même rythme que les connaissances scientifiques, se développent des outils thérapeutiques remarquables, fondés sur la compréhension des lois de la nature. Ces outils sont de plus en plus simples (mais non simplistes) et de plus en plus efficaces. Ils interviennent dans le champ de l’énergétique qui associe par nature le corps et l’esprit.