A8. ÉTUDE DE CAS




EXEMPLES DE ProGRAMMES BIOLOGIQUES SPéCIAUX DE LA NATURE

Il est indispensable d’avoir lu attentivement l’ensemble de la présentation de la MNG pour comprendre les exemples qui suivent.

Les troubles mentaux
extrait simplifié de Comprendre sa maladie, du Docteur Henrard

Le système des spécialisations en médecine, justifié par la trop grande quantité de connaissances, considère la maladie mentale comme une catégorie parmi les autres. Le seul lien entre psychisme et maladies concédé par la science officielle est le concept d’affections « psychosomatiques ». Ce concept enracine encore la séparation entre le vécu et la maladie puisqu’il sous entend que, indépendamment des facteurs externes, il existe des affections non psychosomatiques, n’ayant rien à voir avec le psychisme.
Nous avons vu qu’il s’agit en toutes circonstances de tenir compte des relations entre les manifestations psychiques, le cerveau et les organes.
Il faut tout d’abord distinguer la souffrance morale du trouble mental. La souffrance morale intervient naturellement quand nous vivons une contrariété mais elle n’entraîne pas nécessairement de conflit biologique, même quand elle est intense comme dans le cas d’un deuil.
Les scénarios de la pathologie mentale dépendent de la complexité du ou des conflit(s) biologique(s).

Névroses et psychoses
La psychiatrie classique fait une distinction entre les névroses et les psychoses.
Les névroses désignent un trouble du comportement, sans lésion ni perte de la possibilité de communiquer et du sens de la réalité : états d’angoisse, de dépression, d’obsessions avec troubles compulsifs, phobies, etc. Elles sont traitées par le généraliste et le psychothérapeute, avec ou sans médicaments.
Les psychoses désignent un état de « folie », avec création d’un univers mental qui isole le patient et produit un discours jugé incohérent : schizophrénie, folie maniaco-dépressive, autisme, paranoïa, hallucinations et délires et autres manifestations disparates. Le traitement est l’apanage du psychiatre avec des médicaments puissants et hospitalisation fréquente.
La MNG aborde cette classification tout autrement et, comme dans les lésions physiques dites cancéreuses, permet de remettre de l’ordre et de la cohérence dans ces affections.
Ce que l’on appelle névrose repose sur un seul conflit, tandis que les psychoses sont dues à la présence de plusieurs conflits actifs. Mais dans tous les cas de troubles mentaux, la distinction fondamentale tient à l’ampleur et à l’intensité du ou des conflits en cause.
Le scénario le plus simple est le conflit unique où l’individu en phase de stress (CA) va ressasser de façon obsédante et douloureuse son problème, dans le but de le solutionner le plus rapidement possible.

Dépression et manie
La dépression et son contraire, la manie, reposent sur une configuration plus complexe et la distinction entre les deux dépend uniquement de la localisation des relais cérébraux dans le cortex. Toutes deux accompagnent un conflit de « territoire » auquel s’ajoute l’une de ces trois éventualités : une polarité de gaucher, un statut hormonal inversé ou un conflit déjà actif situé dans l’autre hémisphère cérébral[1]. La dépression est un trouble fonctionnel de l’hémisphère cortical droit et la manie un trouble fonctionnel de l’hémisphère gauche.
Par exemple, la dépression endogène de la ménopause, considérée comme « normale », ne peut se produire en l’absence d’un conflit de territoire associé à l’une de ces trois conditions. Le fait qu’elle soit courante ne signifie pas qu’elle soit normale et, à la lumière de la MNG, on comprendra mieux les raisons de sa survenue et les moyens d’y remédier.

La constellation schizophrénique (CS) :
une règle biologique qui refonde la psychiatrie

à ne pas confondre avec la définition clinique classique du terme
La constellation schizophrénique, progressivement mise en évidence par Hamer, est à l’origine de la plus grande variété de troubles mentaux. Elle est le fondement essentiel des composantes disparates de la psychiatrie qu’elle permet de comprendre et de classer. Son existence repose sur la présence d’au moins deux conflits actifs répondant à deux conditions : que leurs relais cérébraux appartiennent à un même niveau (tronc cérébral, cervelet, moelle cérébrale ou cortex hémisphérique) ou à des niveaux proches et qu’ils se trouvent respectivement l’un dans la moitié droite l’autre dans la moitié gauche du cerveau.
L’importance de la CS tient à son impact sur les rythmes cérébraux : chaque moitié du cerveau comporte un rythme propre. Si un premier conflit perturbe le rythme de base du côté gauche par exemple, le deuxième conflit intervenant au même niveau cérébral mais du côté droit entraîne une perturbation majeure du rythme de l’ensemble de ce niveau. D’où l’adjectif « schizophrénique » qui signifie ici scission entre les deux moitiés du cerveau.
Certains paramètres peuvent provoquer ou aggraver la situation : la prise de drogues, de médicaments de type morphiniques ou d’alcool ; l’ablation chirurgicale d’un Foyer de Hamer en réparation, pris à tort pour une tumeur cérébrale ; certains traumatismes crâniens avec blessure profonde ou embolie cérébrale.
Vu le nombre de relais cérébraux et de combinaisons possibles, l’étude de ces constellations est toujours un sujet de recherche, mais la cartographie des relations entre conflits et troubles mentaux est déjà bien établie pour chacune des quatre grandes parties du cerveau. Les conflits apparaissent dans l’ordre de leurs DHS respectifs, en tenant compte des règles de polarité biologique et anatomique et de tous les motifs d’inversion de côté. Ensuite, le niveau cérébral de la constellation détermine le genre de trouble mental : désorientation spatiale pour le tronc cérébral, perte de la faculté émotionnelle pour le cervelet, sentiment de puissance et de grandeur pour la moelle cérébrale, délires et hallucinations pour le cortex : la teneur des délires varie d’après la position des relais suivant un axe antéro postérieur. On y distingue quatre grands thèmes :
Position antérieure : sentiment de supériorité planante ou de ne pas être affecté par les menaces, d’être inattaquable
Position quasiment médiane : attirance exagérée pour les questions touchant à la mort et à l’au-delà, ou l’alternance d’un état dépressif et maniaque
Position postérieure intermédiaire : mélange d’agitation et d’agressivité
Position occipitale : paranoïa
Au niveau psychique, le sens biologique de la constellation schizophrénique est de mettre l’individu dans une position de refuge, de recul suffisant pour éviter des récidives et même d’autres conflits. Au niveau organique, le sens biologique peut être vital dans le cas du cortex : un processus de « gel » stoppe l’évolution des lésions qui pourraient s’avérer mortelles si la masse conflictuelle (rapport durée/intensité du conflit) est trop importante. Une CS peut, par exemple, éviter de faire un infarctus en phase PCL et permettre à l’individu de résoudre ses conflits à plus ou moins longue échéance mais sans mettre sa vie en danger : la « folie » ne dure que le temps de la constellation.
Mais ce qui est rendu possible par la nature n’est guère réalisable dans le cadre d’un internement. On ne peut donc s’étonner de la connotation chronique voire incurable des troubles mentaux majeurs. Les populations dites primitives ont une attitude plus réaliste en laissant les fous tranquilles, sachant par expérience qu’ils peuvent un jour redevenir « normaux ».
Selon l’ampleur des conflits d’origine, la constellation peut durer quelques heures, quelques jours ou toute une vie. C’est un phénomène aussi naturel que la prolifération cellulaire, l’ulcération ou la panne fonctionnelle. Hamer affirmait que tout le monde avait eu sa « petite constellation ». Qui ne s’est pas dit un jour : « je ne comprend pas comment j’ai pu dire ou faire cela, ce n’est pas moi, je ne devais pas être dans mon état normal. » Ce n’est pas l’étiquette en soi qui compte, mais l’ampleur des modifications, qu’elles soient psychiques, cérébrales ou cellulaires. La marge de manœuvre est étendue :
La compensation d’une constellation de « dévalorisation », c’est aussi bien se vanter de tout ce que l’on a fait que se prendre pour le nouveau messie.
La compensation d’une constellation de « séparation », c’est aussi bien se cantonner dans une attitude solitaire que sombrer dans l’autisme.
La compensation d’une constellation de « place dans le territoire », c’est aussi bien l’engouement pour les sports violents que le dramatique passage à l’acte des grands déséquilibrés.
Le passage à l’acte aura lieu si l’un des conflits actifs est restimulé. La différence entre le banal et l’urgent est d’ordre quantitatif et non qualitatif, elle couvre toute la gamme des comportements, de l’attitude un peu bizarre à l’acte extrême.
L’application des lois biologiques bouleverse bien des dogmes sur des concepts trop simplement définis en psychologie, y compris des concepts aussi fondamentaux que le caractère, la masculinité / féminité et la norme .


[1] Voir les Règles complémentaires dans le chapitre sur le 3ème loi et Constellations schizophréniques.

Quelques cas de maladies étiquetées cancer
extrait simplifié de La Médecine Nouvelle Germanique, du Docteur Hamer

PBS du sein
Conflits différents selon les parties atteintes
La fonction du sein est de séduire et de nourrir. Il est donc naturel que les femmes vivent des programmes biologiques spéciaux avec leurs partenaires et leurs enfants : c’est du bon sens vital. Il faut aussi distinguer les conflits associés aux différentes parties du sein.

Les cinq parties du sein avec leur appartenance aux feuillets embryonnaires et les PBS qui en résultent :
1. Epiderme, issu de l’ectoderme
Conflit de séparation
Phase CA : ulcération de l’épiderme avec hyposensibilité (neurodermite)
Phase PCL : régénération cellulaire avec rougeur, inflammation et démangeaison (exanthème), hypersensibilité. Pas d’épi-crise.
2. Chorion ou derme, issu du mésoderme ancien
Conflit de salissure ou d’intégrité (exemple : après ablation du sein)
Phase CA : formation d’un mélanome (carcinome adénoïde)
Phase PCL : caséification tuberculeuse, odeur nauséabonde si épiderme touché
3. Glandes mammaires, issues du mésoderme ancien
Conflit de préoccupation ou de dispute
Phase CA : carcinome adénoïde mammaire, croissance d’un nodule compact
Phase PCL a) caséification tuberculeuse du nodule sous la peau intacte, avec un peu d’œdème qui laisse ensuite place à une cavité
Phase PCL b) enkystement du nodule.
4. Canaux galactophores, issus de l’ectoderme (PBS le plus fréquent)
Conflit de séparation
Phase CA : ulcération des canaux avec diminution de la sensibilité dans les canaux et parfois sur la peau
Phase PCL : régénération des tissus (épithélium pavimenteux) avec inflammation et hypersensibilité douloureuse. Pas d’épi-crise.
5. Côtes / vertèbres proches du sein, issues du mésoderme nouveau
Conflit de dévalorisation (exemple : après ablation du sein)
Phase CA : ostéolyses (nécrose osseuse)
Phase PCL : recalcification avec inflammation. Formation d’un ostéosarcome s’il y a perforation du périoste suite à une ponction.

PBS des canaux galactophores du sein
Conflit de séparation
Ce cancer intraductal est inoffensif si l’on évacue à temps le liquide ou le lait produit dans la phase PCL. Tous les paysans le font aux vaches auxquelles on a enlevé les veaux (phase conflictuelle) et chez qui un quartier de pis enfle au cours de la phase de réparation (cancer des canaux galactophores). Les paysans l’appellent « douleur du quartier ». Aucune vache n’en meurt. Il devrait en être de même chez la femme.
De la même manière que le paysan vide avec soin le quartier de pis (c’est un peu douloureux pendant un certain temps), il faut vider le sein de la femme, éventuellement à l’aide d’un tire-lait ou d’un mari habile. C’est aussi simple que cela !
A partir de la phase PCL, si le lait n’est pas aspiré, le sein va s’indurer et peu à peu se réduire. Il n’y a là rien de « malin » ni de mortel. La déformation du sein peut causer une gêne et devenir inesthétique, ce qui peut générer un PBS de dévalorisation de soi touchant les côtes ou les vertèbres.

PBS des ovaires
Conflit de perte
DHS : Perte d’un être cher (en particulier d’un enfant) par décès ou départ.
Phase CA : Nécrose de l’ovaire, régi par le mésoderme nouveau, qui peut facilement passer inaperçue. Ceci provoque une diminution de la production d’œstrogènes qui peut conduire à une aménorrhée.
Phase PCL : Les nécroses sont régénérées et comme il n’y a pratiquement pas de capsule ovarienne, il se produit des kystes de différentes tailles qui sont d’abord liquides puis se comblent de tissus et durcissent. Le ventre peut grossir de manière impressionnante pendant l’induration. Au début de la phase de réparation, le kyste ovarien adhère partout aux organes environnant pour se fournir en sang, ce qui est interprété par erreur comme une « croissance invasive ». Dès que la circulation sanguine propre est en place, tout se détache spontanément. Le kyste présente alors une capsule dure et solide, ce qui permet de l’exciser facilement s’il devient gênant au point de vue mécanique.
Sens biologique en fin de phase PCL : L’ensemble du processus dure neuf mois, autant qu’une grossesse, et le kyste induré produit alors un plus grand flux d’œstrogènes. De ce fait la femme est plus réceptrice, plus disponible sexuellement et, en outre, paraît nettement plus jeune ! Conditions idéales pour une grossesse, offertes par la nature qui fait le nécessaire pour favoriser un « remplacement » rapide.

PBS du col de l’utérus
Le col de l’utérus est un aspirateur à spermatozoïdes ; en phase conflictuelle, il perd de la masse, le col s’élargit pour être plus performant. Teneur du conflit : « je n’arrive pas à garder une homme avec qui j’aie le temps de faire des enfants donc je dois être hyperperformante à la première occasion ». Le papillomavirus apparaît en phase de réparation.

PBS des alvéoles pulmonaires
Conflit de peur de la mort
DHS : A l’annonce d’un diagnostic tel que « vous avez un cancer (quel qu’il soit) et n’en avez plus que pour trois mois à vivre » il n’est pas rare que des patients fassent aussitôt un nouveau DHS généré par une peur panique de la mort. Les multiples examens de contrôle recommandés par la médecine d’école favorisent également de telles réactions.
Phase CA : Adénocarcinome des alvéoles pulmonaires, régies par le tronc cérébral, croissance de foyers circulaires qui peuvent envahir la totalité du poumon, plus ou moins rapidement selon l’intensité du conflit.
Teneur du conflit : Peur archaïque de ne plus pouvoir absorber l’oxygène nécessaire à la vie.
Sens biologique en phase CA : Les alvéoles pulmonaires, issues du tissu intestinal archaïque captent l’oxygène et rejettent le gaz carbonique. Ce PBS est une tentative de l’organisme d’inspirer plus d’oxygène et d’expirer plus de gaz carbonique grâce à une augmentation du tissu respiratoire.
Phase PCL : Si le patient réussit à trouver une solution à son conflit de peur de la mort (en comprenant le sens des processus biologiques par exemple), il est soulagé et entre en phase PCL. Si des mycobactéries se sont multipliées en phase CA, une tuberculose pulmonaire s’installe qui va éliminer les foyers circulaires, accompagnée de fièvre, sueurs nocturnes et fatigue extrême. S’il n’y a pas de mycobactéries, les tumeurs compactes sont simplement enkystées.
Lorsque le foyer tuberculeux est ouvert, le patient expectore beaucoup de protéines dans ses crachats. Celles-ci doivent être remplacées grâce à une nourriture appropriée. Le repos alité est impératif pour éviter les efforts en raison du risque de déchirure d’une caverne pulmonaire en formation et de pneumothorax.
La tuberculose est et a toujours été la phase de résolution d’un conflit de peur de la mort.

PBS des os
Conflit de dévalorisation
DHS : Sentiment de dévalorisation brutal, perte d’estime de soi, qui peut se produire à la suite d’un échec (sportif, amoureux, etc.) ou d’un PBS traumatisant, ayant donné lieu à l’ablation d’un sein par exemple. Chaque partie du squelette correspond à un conflit de dévalorisation spécifique.
Phase CA : Nécrose de la moelle osseuse, régie par le mésoderme nouveau, trous de décalcification localisés dans la zone correspondant au conflit. Phase de leucopénie : baisse importante du nombre des globules blancs.
Phase PCL : La conflictolyse, après un succès revalorisant par exemple, enclenche le processus de réparation de l’os, avec gonflement douloureux de la zone, considéré comme un cas normal de rhumatisme articulaire aigu. Le patient doit simplement rester au repos plusieurs mois. En cas de fracture pathologique, il faut immobiliser l’articulation, avec une attelle plâtrée par exemple et par la suite lentement remobiliser le genou.
De nos jours, par ignorance, on ponctionne le genou, de sorte que le cal s’écoule et provoque un ostéosarcome, « traité » aussitôt à la chimio et à la morphine ou amputé, avec une mortalité supérieure à 90%.
Avant la chimio ou sans elle, les patients ont naturellement une leucémie qui est le programme biologique réparateur d’une ostéolyse (perte osseuse). Elle vient compenser la perte de globules engendrée par la leucopénie en phase CA.
Lors de la conflictolyse, l’hématopoïèse (mécanisme de production) des globules blancs et rouges se remet en marche. Celle des globules blancs (leucocytes) se fait très rapidement, celle des globules rouges (érythrocytes et thrombocytes) trois à huit semaines plus tard.
La leucémie apparaît aussi après une irradiation de la moelle osseuse suite à des bombardements atomiques ou accidents nucléaires, comme signe d’une tentative de réparation de la moelle osseuse.
Sens biologique en phase PCL : Consolidation de l’os qui devient plus fort qu’avant.
Tout au long de leur carrière, de nombreux sportifs sont ennuyés à cause d’un genou gonflé. Chaque fois qu’ils remportent une grande victoire l’inflammation et les douleurs augmentent (phase PCL) tandis qu’après une grande défaite le problème semble s’améliorer (phase CA).

PBS de l’épiderme
Conflit de séparation
DHS : Perte du contact corporel avec un proche, une personne aimée. Dans la nature, la perte du contact avec la mère / le troupeau est souvent fatale, c’est pourquoi les conflits de l’épiderme sont très significatifs.
Les maladies d’enfance en font partie, associées à d’autres atteintes notamment de la sphère ORL. Elles rythment les étapes normales de séparation survenant dans le jeune âge où elles sont quasiment toujours inoffensives. Leur rôle est aussi de renforcer le système immunitaire.
Phase CA : L’épiderme, régi par le cortex, est le siège de micro ulcérations, invisibles à l’œil nu, et d’une perturbation de la sensibilité à l’endroit même où se manifeste la nostalgie du contact. Au toucher la peau semble rêche, parfois squameuse, pâle, mal irriguée, froide. Sa sensibilité plus ou moins diminuée s’accompagne d’un trouble de la mémoire à court terme. Le vitiligo et la calvitie sont des phases CA, et le psoriasis associe 2 conflits en phase CA et PCL.
Phase PCL : Régénération des ulcérations et hyperesthésie avec bref retour de l’insensibilité + absence en phase épileptoïde. La peau rougit, chauffe, enfle, démange... C’est la phase de la plupart des maladies dermatologiques, des plus bénignes aux plus sérieuses selon la complexité du conflit. Conflits simples : exanthèmes, dermites, verrues, eczéma, urticaire (fort mais bref) ; conflits plus complexes : psoriasis, érysipèle, herpès, cancers, et les maladies d’enfance : varicelle, rougeole, rubéole, scarlatine, avec souvent plusieurs facettes dont ORL.
Sens biologique en phase CA : la coupure de la sensibilité de la peau, organe du contact, a pour but d’atténuer le souvenir du contact en créant une amnésie transitoire.