Cancer
Celui qui croit qu’il va mourir
de son cancer a raison.
Celui qui
croit qu’il va guérir de son cancer a raison aussi.
Cette affirmation explosive est
justifiée par la nouvelle biologie, bien nommée biologie des croyances par Bruce Lipton.
Sa compréhension nécessite de donner à la notion de croyances ses lettres de
noblesse scientifique et de ne pas s’en tenir à une définition d’ordre
religieux.
La dramatisation médiatique de ces maladies favorise la
première option. La compréhension des cinq lois de la MNG contribue largement à
favoriser la seconde.
Ce qu’on
appelle sida n’est pas une maladie précise mais un cocktail d’affections déjà
décrites depuis la fin du XVIIIème siècle et qui s’expliquent par
les Lois biologiques.
Le sida est sensé débuter avec
la séropositivité dont le diagnostic est déjà très problématique :
Primo, il faut savoir qu’il
existe une soixantaine de raisons d’être séropositif : fièvre, rhume,
grippe, infections diverses et leurs traitements, grossesse (à partir de la 2ème),
maladies du foie, paludisme, vaccination récente, etc.
Deuxio, la non fiabilité des
tests est reconnue et les critères divergent grandement d’un pays à
l’autre : en Afrique, un test simplifié de dépistage associé à une
affection persistante telle que amaigrissement, fièvre, infection ou
affaiblissement général, établit votre séropositivité. Vous n’auriez aucune
chance de l’être en Australie sur ces critères.
De plus ces affections sont
justement parmi celles dont meurent les africains depuis toujours, largement
causées par la malnutrition qui mine le système immunitaire.
Cela donne à penser sur les bases statistiques de « l’épidémie » en
Afrique…
A la lumière de la MNG, il faut commencer par distinguer le
conflit de base d’un individu apprenant qu’il est séropositif et considérer l’impact
des questions suivantes. Quels sont les effets sur le psychisme d’une telle
nouvelle ?
Se croire soudainement condamné à mort tout en ignorant le
terme exact et vivre avec une épée de Damoclès au dessus de la tête (conflits
de peur de la mort, d’insécurité)
Imaginer qu’on peut entraîner d’autres personnes vers le
même sort (conflits de culpabilité)
Renoncer à la pratique naturelle et spontanée des rapports
intimes, être mis à l’écart de la société (conflits de séparation et de rejet)
Se sentir contaminé, souillé (conflits d’atteinte à son
intégrité)
Etre sans cesse médicalisé, se sentir amoindri, limité,
handicapé (conflits d’entrave et de dévalorisation)…, etc.
L’apparition et l’évolution des
affections qui s’en suivent obéissent tout autant aux Lois biologiques. Le
cercle vicieux est en place avec l’impact iatrogène des tests et de
l’interprétation des maladies qui surviennent (conflits de diagnostic).
Pourtant un séropositif ne fera jamais que les maladies consécutives à ses
conflits personnels, tout comme un séronégatif. Mais chez lui, ces maladies
seront souvent qualifiées « d’opportunistes » et marquées au fer
rouge de la progression du mal, source de nouveaux conflits.
L’engrenage est analogue à celui
du cancer. Si un conflit entre en solution, les symptômes de réparation seront
alors dramatiquement interprétés comme une nouvelle affection opportuniste qui
marquera un jour ou l’autre le commencement de la fin dans l’esprit du patient.
Cette version apocalyptique de
la situation rend très difficile de s’extraire de la spirale infernale.
Pourtant, outre les conflits biologiques, la déficience immunitaire dont
souffrent les « sidéens » est largement aggravée par leurs modes de
vie : malnutrition en Afrique et parfois aussi en Occident : manger à
sa faim ne signifie pas être bien nourri, consommation excessive
d’antibiotiques et de poppers par certaines catégories de population,
chimiothérapies et radiothérapies répétées, irradiations…
Ces facteurs sont connus et leurs remèdes s’en déduisent
facilement : ils sont beaucoup plus moins coûteux, plus efficaces et
réconfortants que tous les programmes de recherche et autres campagnes financées
par le marketing de la peur.
A la suite
d’un DHS, le patient reste vulnérable car le choc a créé un « rail »
qui peut favoriser une récidive si l’on appréhende que la situation
conflictuelle se reproduise. Dans cette phase de cicatrisation, il est
nécessaire d’éviter tout ce qui peut créer de l’angoisse, des peurs, des
doutes, afin de ne pas rouvrir la blessure. Mais le patient est guéri et sa
fragilité provisoire n’a rien à voir avec un état de « rémission » où
le cancer resterait tapi quelque part dans le corps.
Les
rails
Lorsqu’une personne vit un conflit biologique suite à un
DHS, c’est non seulement le conflit lui-même qui est engrammé à l’instant du
DHS, mais également les circonstances associées :
lieux, personnes, animaux, images, sons, odeurs, goûts et autres sensations.
Par la suite, dès que l’une de ces
perceptions réapparaît, l’ensemble du conflit peut se réactiver sous forme de
récidive, du moins tant que l’association d’idée n’a pas été conscientisée et
désactivée. En dehors du rail
véritable du DHS, il y a donc des rails secondaires liés au contexte. De nos
jours faute de comprendre leur déclenchement, ces réactions sont souvent appelées « allergies ».
La genèse du
cancer permet de comprendre que les métastases n’existent pas : elles
correspondent à de nouveaux cancers, issus de nouveaux conflits. C’est ce qui
se produit lors d’un conflit iatrogène, c’est-à-dire provoqué par la peur
engendrée par les différents diagnostics et pronostics.
Tout diagnostic avec connotation
de mort peut causer l’apparition d’un conflit souvent fatal : le conflit de
diagnostic. Par exemple le conflit de « peur de la mort » provoque
une croissance cellulaire dans les alvéoles pulmonaires, appelée cancer du
poumon. Autre situation : une femme à laquelle on a enlevé un sein peut
éprouver en même temps un conflit de « dévalorisation » qui
provoquera des ostéolyses appelées cancer des os dans les côtes ou la colonne
vertébrale.
On ne s’étonnera pas d’apprendre
qu’on trouve rarement des métastases, ou plus justement des cancers
secondaires, chez les animaux, à l’exception de certains animaux domestiques.
Il n’y a pas de communication de
cellules cancéreuses d’un organe à un autre par l’intermédiaire du sang et de
la lymphe. Si c’était le cas, comme il est prétendu, la moindre des choses
serait de rechercher la présence de cellules cancéreuses dans le sang des donneurs,
ce qui n’est jamais fait.
Comme on l’a vu avec la 3ème
loi, la multiplication cellulaire est activée par le cerveau selon des lois
rigoureuses. Il n’est biologiquement pas possible qu’une tumeur de l’intestin
géré par le tronc cérébral (prolifération cellulaire en phase CA), se mette par
exemple à migrer dans les os gérés par le cortex, où elle se métamorphoserait
en nécrose (destruction cellulaire en phase CA et prolifération cellulaire en
phase PCL).
Pour plus
d’informations consulter la brochure Sida
du Dr Henrard