A7. LES MOTS QUI FONT PEUR




LES MOTS QUI FONT PEUR : du mythe à la réalité


Cancer
Celui qui croit qu’il va mourir de son cancer a raison.
Celui qui croit qu’il va guérir de son cancer a raison aussi.
Cette affirmation explosive est justifiée par la nouvelle biologie, bien nommée biologie des croyances par Bruce Lipton[1]. Sa compréhension nécessite de donner à la notion de croyances ses lettres de noblesse scientifique et de ne pas s’en tenir à une définition d’ordre religieux.
La dramatisation médiatique de ces maladies favorise la première option. La compréhension des cinq lois de la MNG contribue largement à favoriser la seconde.

Sida
Ce qu’on appelle sida[2] n’est pas une maladie précise mais un cocktail d’affections déjà décrites depuis la fin du XVIIIème siècle et qui s’expliquent par les Lois biologiques.
Le sida est sensé débuter avec la séropositivité dont le diagnostic est déjà très problématique :
Primo, il faut savoir qu’il existe une soixantaine de raisons d’être séropositif : fièvre, rhume, grippe, infections diverses et leurs traitements, grossesse (à partir de la 2ème), maladies du foie, paludisme, vaccination récente, etc.
Deuxio, la non fiabilité des tests est reconnue et les critères divergent grandement d’un pays à l’autre : en Afrique, un test simplifié de dépistage associé à une affection persistante telle que amaigrissement, fièvre, infection ou affaiblissement général, établit votre séropositivité. Vous n’auriez aucune chance de l’être en Australie sur ces critères.
De plus ces affections sont justement parmi celles dont meurent les africains depuis toujours, largement causées par la malnutrition qui mine le système immunitaire.
Cela donne à penser sur les bases statistiques de « l’épidémie » en Afrique…
A la lumière de la MNG, il faut commencer par distinguer le conflit de base d’un individu apprenant qu’il est séropositif et considérer l’impact des questions suivantes. Quels sont les effets sur le psychisme d’une telle nouvelle  ?
Se croire soudainement condamné à mort tout en ignorant le terme exact et vivre avec une épée de Damoclès au dessus de la tête (conflits de peur de la mort, d’insécurité)
Imaginer qu’on peut entraîner d’autres personnes vers le même sort (conflits de culpabilité)
Renoncer à la pratique naturelle et spontanée des rapports intimes, être mis à l’écart de la société (conflits de séparation et de rejet)
Se sentir contaminé, souillé (conflits d’atteinte à son intégrité)
Etre sans cesse médicalisé, se sentir amoindri, limité, handicapé (conflits d’entrave et de dévalorisation)…, etc.
L’apparition et l’évolution des affections qui s’en suivent obéissent tout autant aux Lois biologiques. Le cercle vicieux est en place avec l’impact iatrogène des tests et de l’interprétation des maladies qui surviennent (conflits de diagnostic). Pourtant un séropositif ne fera jamais que les maladies consécutives à ses conflits personnels, tout comme un séronégatif. Mais chez lui, ces maladies seront souvent qualifiées « d’opportunistes » et marquées au fer rouge de la progression du mal, source de nouveaux conflits.
L’engrenage est analogue à celui du cancer. Si un conflit entre en solution, les symptômes de réparation seront alors dramatiquement interprétés comme une nouvelle affection opportuniste qui marquera un jour ou l’autre le commencement de la fin dans l’esprit du patient.
Cette version apocalyptique de la situation rend très difficile de s’extraire de la spirale infernale. Pourtant, outre les conflits biologiques, la déficience immunitaire dont souffrent les « sidéens » est largement aggravée par leurs modes de vie : malnutrition en Afrique et parfois aussi en Occident : manger à sa faim ne signifie pas être bien nourri, consommation excessive d’antibiotiques et de poppers par certaines catégories de population, chimiothérapies et radiothérapies répétées, irradiations…
Ces facteurs sont connus et leurs remèdes s’en déduisent facilement : ils sont beaucoup plus moins coûteux, plus efficaces et réconfortants que tous les programmes de recherche et autres campagnes financées par le marketing de la peur.


Récidive
A la suite d’un DHS, le patient reste vulnérable car le choc a créé un « rail » qui peut favoriser une récidive si l’on appréhende que la situation conflictuelle se reproduise. Dans cette phase de cicatrisation, il est nécessaire d’éviter tout ce qui peut créer de l’angoisse, des peurs, des doutes, afin de ne pas rouvrir la blessure. Mais le patient est guéri et sa fragilité provisoire n’a rien à voir avec un état de « rémission » où le cancer resterait tapi quelque part dans le corps.
Les rails
Lorsqu’une personne vit un conflit biologique suite à un DHS, c’est non seulement le conflit lui-même qui est engrammé à l’instant du DHS, mais également les circonstances associées : lieux, personnes, animaux, images, sons, odeurs, goûts et autres sensations. Par la suite, dès que l’une de ces perceptions réapparaît, l’ensemble du conflit peut se réactiver sous forme de récidive, du moins tant que l’association d’idée n’a pas été conscientisée et désactivée. En dehors du rail véritable du DHS, il y a donc des rails secondaires liés au contexte. De nos jours faute de comprendre leur déclenchement, ces réactions sont souvent appelées « allergies ».


Métastase
La genèse du cancer permet de comprendre que les métastases n’existent pas : elles correspondent à de nouveaux cancers, issus de nouveaux conflits. C’est ce qui se produit lors d’un conflit iatrogène, c’est-à-dire provoqué par la peur engendrée par les différents diagnostics et pronostics.
Tout diagnostic avec connotation de mort peut causer l’apparition d’un conflit souvent fatal : le conflit de diagnostic. Par exemple le conflit de « peur de la mort » provoque une croissance cellulaire dans les alvéoles pulmonaires, appelée cancer du poumon. Autre situation : une femme à laquelle on a enlevé un sein peut éprouver en même temps un conflit de « dévalorisation » qui provoquera des ostéolyses appelées cancer des os dans les côtes ou la colonne vertébrale.
On ne s’étonnera pas d’apprendre qu’on trouve rarement des métastases, ou plus justement des cancers secondaires, chez les animaux, à l’exception de certains animaux domestiques.

Il n’y a pas de communication de cellules cancéreuses d’un organe à un autre par l’intermédiaire du sang et de la lymphe. Si c’était le cas, comme il est prétendu, la moindre des choses serait de rechercher la présence de cellules cancéreuses dans le sang des donneurs, ce qui n’est jamais fait.
Comme on l’a vu avec la 3ème loi, la multiplication cellulaire est activée par le cerveau selon des lois rigoureuses. Il n’est biologiquement pas possible qu’une tumeur de l’intestin géré par le tronc cérébral (prolifération cellulaire en phase CA), se mette par exemple à migrer dans les os gérés par le cortex, où elle se métamorphoserait en nécrose (destruction cellulaire en phase CA et prolifération cellulaire en phase PCL).


[1] Voir la partie Biologie quantique.
[2] Pour plus d’informations consulter la brochure Sida du Dr Henrard
et lire Les 10 plus gros mensonges sur le sida, Dr Etienne de Harven et Jean-Claude Roussez, Dangles, 2005