A5. 4ème LOI




QUATRIèME LOI : LE SYSTèME ONTOGéNéTIQUE DES MICROBES

Les microbes sont les témoins de l’état du terrain[1] et les acteurs de la réparation. Ils construisent et assistent les processus métaboliques. Le type de microbe intervenant dans la 2ème phase est déterminé par l'origine embryologique de l'organe touché. Ils sont inactifs en 1ère phase.

Dans la médecine d’école, les microbes sont divisés en deux catégories, les « bons » comme les bactéries intestinales, la flore buccale et vaginale, et les « mauvais » comme le bacille de Koch (tuberculose). Méconnaissant le processus de formation des maladies, on considère à tort ces derniers comme responsables des maladies « infectieuses » du fait qu’ils y sont actifs. Un terrain malade est comparable au lieu d’un incendie : on y remarque toujours la présence de pompiers ; pour autant ils ne sont pas responsables du feu ; on pourrait aussi les accuser de causer des inondations tandis qu’ils arrosent les flammes. En réalité ils sont simplement là pour éteindre l’incendie dans les meilleures conditions possibles. Ainsi font les microbes.

[1] Voir la partie Terrain et Immunité.



La coopération du système immunitaire
La 4ème loi montre que le terrain a des caractéristiques physico-chimiques qui génèrent la multiplication des microbes appropriés, à partir d'une « bibliothèque de modèles » intégrée, couplée avec un « centre de reprographie ». Au moment opportun, notre cerveau leur commande d’entrer en action pour des opérations de remise en état très précises sur la partie affectée, sans aucune incidence sur les autres organes.
Les microbes sont les machines outils du processus de réparation, ils sont construits à la demande et sur place, contrairement aux croyances de la médecine d’école à la suite de Pasteur. Ainsi tous les processus infectieux et inflammatoires, couramment appelés « maladies chaudes », sont la condition du retour à l’équilibre. L’inconfort est proportionnel au travail à réaliser. A défaut de ces micro-collaborateurs, la réparation sera incomplète. Si on les neutralise artificiellement par des médicaments, ils reprendront leur activité légitime à un moment donné par une récidive ou une mutation.
Plus qu’un système de défense, le système immunitaire est un système de traitement de l'information et de modulation qui déclenche les réactions appropriées. Il veille notamment à l’équilibre symbiotique entre le grand organisme hôte qu’est le corps et les micro-organismes. Géré comme les autres fonctions par notre ordinateur cérébral, il peut lui aussi être atteint pour diverses raisons, conflictuelles ou extérieures, dont l’exposition aux rayonnements radioactifs, aux chimiothérapies et aux médicaments immunodépresseurs.


Quid de la contagion  ?

La contagion existe indéniablement mais ne constitue pas la cause majeure de la transmission de la maladie.
La 4ème loi nous montre que :
Un individu ne peut développer une infection qu’en 2ème phase d’une maladie préexistante chez lui : il pourra s’interroger avec profit sur l’origine et le vécu de la 1ère phase.
L’ampleur de son infection sera déterminée par l’ampleur des dégâts au terme de sa phase conflictuelle (voir la 2ème loi), et non par la virulence du germe en soi ou la gravité de l’infection chez le contaminateur.
Encore faut-il que le micro-organisme incriminé soit en adéquation avec le tissu en réparation chez le soit disant contaminé (voir plus loin La répartition des microbes).
Sinon personne n’aurait échappé aux épidémies. Celles-ci s’expliquent historiquement par le nombre de personnes vivant les mêmes conflits propres à certaines époques et à certains lieux : par exemple on a observé une augmentation de la tuberculose après les deux guerres mondiales, correspondant à la résolution d’un conflit de « peur de mourir » largement partagé.
La 4ème loi permet également de comprendre l’inutilité et la toxicité de la vaccination, ce qui est d’ailleurs prouvé par de nombreuses études et par les courbes d’évolution des maladies sur une centaine d’années[1].

La notion d’infection chronique
Une infection chronique correspond soit à une 2ème phase particulièrement longue  dont le terme est déterminé par la durée de la 1ère phase ; soit à une guérison en balance (voir la 2ème loi) où la réparation ne se consolide pas et se répète du fait des restimulations du conflit. Dans ce cas il est utile d’étudier le cycle de variation d’une phase à l’autre : le vécu et le ressenti propres à chacune donneront les clés de la guérison.

La notion de surinfection
Les lois biologiques permettent de comprendre que la surinfection n’existe pas en tant que complication d’une infection insuffisamment traitée ou d’une résistance microbienne : chaque tissu passant par un stade infectieux en 2ème phase est concerné par un seul conflit. L’apparition d’une deuxième infection manifeste la résolution d’un deuxième conflit avec la participation des mêmes microbes ou de microbes différents selon le tissu concerné. Comme on le verra plus loin, le mythe des métastases succombe à la même logique.

La notion de résistance microbienne
La résistance des microbes est un phénomène bénéfique et compréhensible à la lumière de la 4ème loi. Par définition, les antibiotiques sont ennemis de la vie (anti-bio) et empêchent les microbes de faire leur travail vital de réparation : on comprend que ceux-ci s’insurgent et se renforcent ou mutent pour arriver à leurs fins. Malheureusement cette surenchère entre les microbes et les fabricants de médicaments se fait au détriment du terrain des patients consommateurs dont les maladies chroniques ou graves (type cancer mal compris) explosent littéralement[2].

Les précautions à prendre 
Deux éventualités requièrent une intervention thérapeutique :
  Quand l’ampleur de l’infection présente un risque vital, notamment chez les nourrissons, les personnes très âgées ou trop affaiblies : il faut alors freiner le processus, y compris par des médicaments chimiques en l’absence d’un praticien de médecine naturelle compétent.
  L’infestation par des microbes non prévus dans l’écosystème natal du patient : cas de la malaria pour un occidental ou de la rougeole pour un africain (affection banale en Europe). Les voyages lointains favorisent sans doute les échanges culturels mais les échanges microbiens ne sont pas encore intégrés dans les programmes de la nature !


[1] Voir la partie Terrain et système immunitaire.
[2] On observe le même engrenage dans le monde agricole ou les fabricants de pesticides tentent de rivaliser toujours plus avec la résistance des insectes et autres parasites.


LA RéPARTITION DES MICROBES

Les champignons et les mycobactéries sont des agents éboueurs. Ils affectent les organes les plus anciens, alors que les bactéries associées aux organes les plus récents sont des agents reconstructeurs. Quand aux virus, Hamer les décrit comme des anticorps.


Les champignons et mycobactéries
travaillent à la régénération des tissus d’origine endodermique
Mycobactéries et champignons sont nos plus anciens compagnons dans l'évolution de la terre. Agissant sur les tissus régis par le cerveau archaïque, ils désintègrent et déblaient les masses cellulaires produites en phase conflictuelle et devenues inutiles. Les mycobactéries opèrent par caséification ou transformation des proliférations en une matière fromageuse, plus facile à résorber ou à rejeter par les voies naturelles. Ce terme est surtout utilisé dans le cas de la tuberculose, causée par le bacille de Koch, qui n’est rien d’autre que la phase de réparation d’un conflit touchant le poumon.
Les mycobactéries se développent dès l’instant du DHS et tout au long du conflit actif[1] pour être prêtes à détruire les tumeurs (abcès froids) dès la conflictolyse ; elles cessent de se multiplier en même temps que les cellules tumorales. Pendant la 1ère phase, il y a un taux de charge microbienne énorme, sans symptômes : le système immunitaire maintient les microbes au repos. A la résolution du conflit, le cerveau initie la 2ème phase et les mycobactéries passent à l’action.
Si le développement des mycobactéries a été inhibé lors de la phase active du conflit, le métabolisme continuera de fonctionner à plein régime, comme une voiture dont la pédale d’accélération resterait coincée. Seule une intervention chirurgicale permettra d’évacuer la tumeur et d’éviter l’occlusion éventuelle (cas de l’intestin).

Les bactéries
travaillent à la régénération des tissus d’origine mésodermique
Les bactéries en affinité avec le mésoderme ancien jouent le même rôle que les champignons et mycobactéries. Les bactéries en affinité avec le mésoderme nouveau ne se multiplient qu’en phase de réparation suite à des nécroses. Elles nettoient les parties mortes et participent à la reconstruction d’un tissu sain, plus solide qu’avant, par exemple un cal osseux après une décalcification[2]. Pour ce faire, elles génèrent des oedèmes et la production d’un milieu liquide et chaud (abcès chauds) appelé maladie infectieuse, cauchemar de la médecine d’école. En dehors d’un risque vital, il s’agit simplement d’accompagner le processus sans entraver les circuits de régulation de la nature[3].
Le danger éventuel ne provient pas des microbes eux-mêmes mais de l’énorme oedème qui se forme au niveau du relais cérébral si le conflit a duré trop longtemps ou intensément. Dans les cas graves un traitement à la cortisone est préconisé (voir le chapitre Approche thérapeutique).

Genèse d’une maladie bactérienne ordinaire
Les épidémies infantiles au début du 2ème trimestre constituent l’épi-crise d’un conflit de « séparation » vécu au 1er trimestre et résolu pendant les 15 jours de vacances de Noël, soit la durée nécessaire à la formation de l’oedème à partir de la conflictolyse (début de la solution du conflit).
Dans ce contexte, on comprendra que la vaccination est aussi insensée que nuisible puisqu’elle inhibe la production des facteurs de réparation de l’organisme, sans parler des additifs toxiques (phénol, formaldéhyde, plomb et aluminium) et du procédé de piqûre qui est en lui-même facteur de conflit biologique[4].

Les virus
des anticorps qui participent à la restauration des tissus d’origine ectodermique
Les virus sont un postulat qui date de 150 ans. Leur existence, telle que décrite par la science, est entièrement remise en question. Selon Hamer ils ne sont rien d’autre que des anticorps prévus par notre cerveau comme rail d’accompagnement lors d’un DHS. Ce sont des molécules protéiniques qui se multiplient et apportent leur contenu génétique en phase de réparation, sans transformer le processus chimique. Ils se contentent d’aider à la reconstruction des tissus ectodermiques ulcérés, des couches supérieures de la peau ou des muqueuses, aussi bien dans le cas d’affections anodines comme les verrues, l’herpès ou les condylomes, que dans des cas plus graves comme les hépatites, le cancer du col utérin ou le sida.


[1] A noter que les mycobactéries ne peuvent être cultivées sur un terrain artificiel et, sur un terrain vivant, il leur faut un DHS suivi d’un conflit actif. Dans l’expérimentation animale, c’est le choc de l’injection et non la substance qui entraîne la multiplication des mycobactéries : autrement dit l’injonction vient de l’intérieur et non de l’extérieur.

[2] On sait qu’une fracture ouverte, accessible aux bactéries, se répare plus facilement que si la plaie est fermée.

[3] Les médecines naturelles et vibratoires offrent de nombreuses solutions biocompatibles.


[4] Voir la partie Terrain et Immunité.