A2. 1ère LOI



PREMIèRE LOI : LA LOI « D'AIRAIN » des maladies
l’origine psychologique des Processus biologiques de la nature

 1er critère - Tout Programme Biologique Spécial de la nature (type cancer) débute par un syndrome conflictuel appelé DHS (Dirk Hamer Syndrome), caractérisé par un choc a) brutal, b) prenant au dépourvu, c) ressenti de façon dramatique, d) vécu dans la solitude, et qui se produit simultanément aux niveaux psychique, cérébral et organique.
 Sans ces caractéristiques, se déroule un programme biologique ordinaire obéissant à la même logique mais à des degrés inférieurs n’entraînant pas les mêmes conséquences.

 2ème critère - Au moment du DHS, le choc génère un conflit biologique dont la teneur subjective détermine d'une part l'emplacement du relais cérébral impacté, appelé Foyer de Hamer (FH), d'autre part l'organe touché ou la fonction concernée (voir la 3ème loi).

 3ème critère – La maladie se déroule de façon synchrone aux trois niveaux – psyché, cerveau, organe – depuis l’instant du DHS jusqu’à la résolution du conflit (voir la 2ème loi). La durée et l’intensité du conflit déterminent son ampleur et l’importance des modifications biologiques.


1er critère

Les caractéristiques du DHS, nécessairement conjointes, décrivent la nature exacte du ressenti profond de la personne, même s’il n’est pas toujours conscientisé comme tel :
a)    choc brutal : l’événement, même minime, apparaît soudain et violent, comme un détonateur.
b)    au dépourvu : imparable, aussi inimaginable qu’une voiture qui débouche d'un sens interdit, la porte de l’ascenseur qui s’ouvre sur le vide ou l’arrivée d’acide au robinet d’eau potable : cela dépasse les possibilités de réactions habituelles.
c)    ressenti de façon dramatique : l’événement n’est pas forcément dramatique mais génère un déchirement inacceptable, un ressenti subjectif de consternation où se mêlent colère et chagrin.
d)    vécu dans la solitude : se confier n’est pas possible, ou peut-être ne se sent-on pas compris ; dans tous les cas on ne parvient pas à décharger la pression émotionnelle qui produit un effet cocotte minute.
Un stress bien géré ou un choc ne réunissant pas toutes ces conditions n’engendre pas de PBS : tout le monde vit des deuils, parfois même brutaux, et ne tombe pas malade pour autant.
Un conflit biologique générant un PBS n’est pas l’un de ces soucis du quotidien auxquels nous sommes continuellement exposés, ni une perturbation psychique ou une souffrance morale, ni une discorde intellectuelle : notre organisme réagit à de telles situations au fur et à mesure par des secousses qui ne menacent pas notre centre de gravité et par des processus de nettoyage ou de réparation simples, opérés grâce aux maladies dites aiguës : rhumes, angines, bronchites, gastros, cystites, conjonctivites, furoncles, névralgies, lumbagos... Ce n’est pas non plus la goutte d’eau qui fait déborder le vase de toutes ces contrariétés. Enfin, sans nier leur importance par ailleurs, le conflit déclenché n’a rien à voir avec le terrain, l’hérédité, un problème vécu dans la petite enfance ou lié aux ancêtres : une pierre lancée sur une fenêtre la cassera aussi sûrement qu’elle soit propre ou crasseuse, avec ou sans inscriptions.


2ème critère
La troisième loi montrera que ce qui importe n’est pas tant le choc lui-même que le(s) type(s) de conflit biologique qu’il réveille. C’est le vécu du patient et non l’événement qui déclenche une maladie. Un même évènement peut donner lieu à différents scénarios allant du pire au meilleur. Un licenciement économique peut être vécu comme un drame ou comme une opportunité, voire comme un drame sur le plan familial et une opportunité sur le plan personnel – ou l’inverse.
Dans tous les cas, à l’exception de circonstances extérieures comme une blessure, un empoisonnement ou une irradiation[1], sans conflit intérieur, il n’y a pas de maladie.
Le Dirk Hamer Syndrome (DHS) est la base de toute la MNG. Il provoque une rupture du champ électromagnétique, un court-circuit qui se visualise au cerveau et au niveau de certains organes pleins (foie, os) sous forme de traces circulaires en cible appelées Foyer de Hamer (FH). Ces traces sont des marqueurs lisibles sur un scanner cérébral ; leur emplacement et leur aspect informent précisément sur la nature du conflit et le déroulement de la maladie.

3ème critère
Le cerveau joue le rôle central de relais entre la psyché et les organes, mais le processus se déroule simultanément aux trois niveaux. Jean-Jacques Crèvecoeur précise que les cellules émettent des biophotons, phénomène quantique qui permet à l'information de se propager à la vitesse de la lumière. La transmission de l'information se fait par ondes électromagnétiques sur un mode ondulatoire et vibratoire, plus rapide que la simple cascade des neurotransmetteurs véhiculés par le système nerveux. C’est pourquoi le choc est simultané aux trois niveaux.
La gravité de la maladie est déterminée par sa masse conflictuelle, équivalente au produit de la durée et de l’intensité du conflit.
Pour compléter la 1ère loi : la perception du contexte au moment du DHS
Les éléments contextuels (environnement, sons, odeurs, gestes…) perçus au moment du DHS sont inconsciemment associés au conflit. Cette notion permet de comprendre d’apparentes exceptions et explique notamment la localisation de certaines allergies. Par exemple :
Un employé est licencié par son patron qui lui apprend la nouvelle en lui mettant la main sur l’épaule : l’épaule pourra être le siège d’une lésion primaire ou secondaire.
Un homme est abandonné par sa compagne alors qu’il arrive chez elle avec un bouquet de roses : il pourra développer une allergie aux roses ou même aux fleurs.

LE CONFLIT BIOLOGIQUE : UN MOTEUR DE L’éVOLUTION
Le conflit biologique est un conflit intérieur vécu comme une impasse.
Chez les êtres humains, à la différence des animaux, l’événement déclencheur peut être concret mais aussi imaginaire ou symbolique (rêve, film, mauvaise farce…). Le cerveau ne fait pas la différence entre le concret et le virtuel qu’il considère comme tout aussi réel[2] : les mêmes relais cérébraux sont sollicités que l’on fasse une chose ou que l’on s’imagine en train de la faire ; on a observé une nette augmentation du cancer du poumon depuis l'étiquetage « fumer tue ».
L’homme se figure penser ou réagir sans lien avec la nature, et pourtant, quel que soit son niveau d’intelligence ou de maturité, il vit des conflits biologiques archaïques. Ceux-ci sont facilement réactivés dans la prime enfance : le tout petit dépend entièrement d’un tiers pour sa survie et vit exclusivement au présent ; il n’a donc pas la capacité de relativiser une absence, même « raisonnable », de réponse à son besoin. Ce jeune enfant vit et réagit en nous tant que nous ne l’avons pas rassuré sur notre capacité d’adulte à prendre en charge tous nos besoins.
Comme le montrera la 3ème loi, le conflit biologique est un combat pour la survie qui se déroule selon le processus embryogénique et les modèles comportementaux programmés dans notre cerveau depuis des millions d’années. Par exemple, la peur provoque la fuite devant le danger, la fatigue incite au repos, la faim à la recherche de nourriture, l’attirance sexuelle au désir d’accouplement, etc. Le DHS est un choc qui met l’organisme aux aguets pour trouver la solution requise. Les situations conflictuelles gérées renforcent l’individu ou l’espèce dans leur évolution.

Le cerveau est un fabuleux ordinateur naturel
L’intégration des données de la physique quantique à la biologie cellulaire démontre que les programmes utilisés par notre cerveau ne sont ni plus ni moins que des croyances conscientes ou inconscientes[3]. Ces programmes qui remontent parfois à la nuit des temps peuvent être vétustes et dépassés mais se déclenchent tant que nous ne les avons pas remplacés par des programmes plus adaptés[4].
Lorsque la souffrance nous accapare totalement, nous devenons incapables de faire face à la vie quotidienne. Pour nous permettre de continuer à vivre au présent sans nous mettre en danger, nous allons « disjoncter », c’est-à-dire que le stress va se focaliser sur une zone spécifique du cerveau, le Foyer de Hamer, se biologiser et générer une « pathologie » localisée. Le conflit enclenché par le DHS va mobiliser toutes les forces biologiques adaptées à la gestion de l’urgence : c’est la mise en route du PBS qui permettra au corps de se concentrer sur la résolution du conflit.
Le Foyer de Hamer capte l’énergie psychoaffective négative, comme un paratonnerre, et la transmute en une pathologie qui, selon le Dr Alain Scohy, agit comme une « bouée de sauvetage ». Celle-ci représente la meilleure solution à la crise, compte tenu des possibilités conscientes et inconscientes de l’individu à cet instant là. Elle permet de gérer le stress.
Une bouée de sauvetage est encombrante mais, dans le cas d’un naufrage, elle est parfaitement adaptée à la situation. Dans le domaine de la santé, elle correspond à la phase de croissance de la pathologie avant la résolution du conflit. Toute tentative pour éliminer radicalement et prématurément la pathologie, que ce soit par une chimio ou à l’aide de certaines médecines douces, équivaut à se débarrasser de sa bouée de sauvetage alors qu’on est encore à la mer.

L’événement déclencheur est récent
Il faut se demander en quoi le problème constitue un programme bien fondé de la nature. Dans tous les cas un évènement programmant, parfois très ancien, a préparé le terrain, et un évènement déclencheur, de même nature mais récent, a généré la phase de conflit actif.
Il est souvent difficile, voire impossible de se remémorer le conflit programmant, mais heureusement  ce n’est pas indispensable. Dans le chapitre Approche thérapeutique on verra que retrouver l’événement déclencheur facilite évidemment les choses. Cependant bien des personnes résolvent leur conflit grâce à une authentique remise en question qui les pousse à adopter des perspectives et attitudes plus cohérentes avec leur identité profonde.
Après un choc, il est recommandé de ne pas laisser volontairement au temps le soin d’arranger les choses (même s’il s’en charge parfois). Au contraire, il est nécessaire de poser des actes pour évacuer le stress et résoudre le conflit psychobiologique.
Exemple personnel cité par JJC : insulté et mis à la porte par une amie de confiance, il se sent sali et pendant huit jours ne dort plus, perd l'appétit, etc. Reconnaissant un conflit biologique, il décide de restituer son vécu à cette amie, sans autre attente que de pouvoir vider son sac : il en ressort soulagé. Le lendemain matin, l'évacuation du stress a généré une quantité de matières sanguinolentes dans les selles : un début de cancer du côlon (conflit de « souillure » ou « d’atteinte à l’intégrité ») a été éliminé à peu de frais pour le patient.
A noter : si JJC n’avait pas connu la MNG, premièrement il n’aurait peut-être pas eu le réflexe de régler aussi rapidement son conflit ; deuxièmement il se serait sans doute alarmé de trouver du sang dans ses selles et il aurait probablement fait faire des examens dont le bilan « cellules cancéreuses » l’aurait entraîné dans la spirale que l’on connaît[5]. Il savait en l’occurrence qu’il venait d’aborder la phase de réparation post-conflictuelle décrite par la 2ème loi de Hamer et s’est réjoui de le constater.
Cette expérience, plus fréquente qu’il n’y paraît, montre que le cancer n’est pas une maladie grave en soi mais peut le devenir si l’on ne prend pas ses besoins personnels au sérieux.


[1] NdCC : Cette exception prend un tout autre sens si l’on comprend que les circonstances extérieures reflètent notre condition intérieure.
[2] NdCC : C’est une compétence créative du cerveau que l’on peut mettre à profit en thérapie et qui est notamment utilisée en hypnose : ce que le cerveau a fait, il peut le défaire. C’est aussi le fonctionnement naturel du jeune enfant en train de jouer, de raconter ou d’écouter une histoire.
[3] Voir la partie Biologie quantique.
[4] Voir le chapitre sur les travaux du mathématicien et biologiste Emile Pinel dans la partie Champs informationnels. Selon Jacqueline Bousquet, ces programmes ou mémoires se manifestent depuis le Champ informationnel jusqu’à l’ensemble des circuits constituant le corps physique, via le cerveau qui joue le rôle de filtre ou de tableau de bord muni de fusibles temporisés. Ces derniers sont associés à des organes cibles et ne laissent passer que le courant qui leur correspond. En cas de surstress, ils réduisent ou coupent le courant ; la communication est alors interrompue entre le cerveau et l’organe qui n’a plus de Champ morphogénétique pour le piloter.
[5] Voir le danger des dépistages et autres examens de contrôle dans le chapitre Approche thérapeutique.