Les
transmutations biologiques à faible énergie
L’alchimie
à l’épreuve de la bioélectronique
« Les miracles ne violent pas les lois de la nature mais le peu
que nous en savons. » Saint-Augustin
Le biophysicien Louis Kervran a
découvert que les êtres vivants peuvent effectuer des changements radicaux au
sein de leurs organismes, en transformant une matière, un gaz, un minéral en un
autre élément. Ce petit miracle se produit par la fusion de deux corps simples
dont les masses atomiques s’additionnent pour en former un troisième, ou par la
fission d’un corps simple en deux nouveaux éléments, soit une répartition
différente du même nombre de particules énergétiques (électrons et protons).
C’est
la poule qui est à l’origine de cette découverte majeure !
Le talent des chercheurs qui
trouvent (eurêka !) réside souvent dans leur capacité à se poser les
bonnes questions.
« Comment la poule
arrive-t-elle à pondre des œufs dont la coquille est nettement plus riche en
calcium que le contenu de son alimentation ? »
Telle est la question fondamentale posée par le professeur
Kervran qui alla chercher la réponse dans le poulailler :
Pour commencer il supprima le calcium du menu de la poule.
La coquille de ses oeufs était toujours aussi solide, mais il observa que
Cocotte s’était mise à consommer des petits cailloux de mica, riches en
potassium. Elle fut alors placée sur un site sans mica et pondit des œufs mous,
donc carencés en calcium. En résumé, la preuve était faite que la poule
fabrique du calcium, de masse atomique 40, à partir du potassium de masse
atomique 39 fusionnant avec un atome d’hydrogène de masse atomique 1 (soit 39 +
1 = 40). La poule, comme tous les êtres
vivants, fait de la fusion nucléaire à basse énergie, sans augmentation de
température et sans avoir besoin de réacteurs nucléaires surpuissants.
Ce principe permet notamment de comprendre…
- Comment le crabe reconstitue sa carapace en récupérant et en
assimilant un calcium quasiment absent des milieux marins
- Pourquoi en donnant du sel aux vaches on enrichit leur lait
en calcium
- Pourquoi elles lèchent le salpêtre des pierres (riche en
potassium) quand elles en manquent
- Pourquoi il est inutile de consommer des laitages pour
fabriquer du calcium, etc.
Il y a parfois plusieurs voies
de transmutation pour aboutir à un même élément, en une ou plusieurs étapes. Un
grand nombre d’associations sont possibles et permettent d’éviter des carences,
même avec une alimentation apparemment pauvre en certains minéraux.
A noter : Ne
sont transmutables que les minéraux naturels, riches en électrons libres,
exempts de polluants : aucun des minéraux de synthèse (fabriqués par
l’homme) n’a la possibilité de transmuter.
Les
conditions physiologiques nécessaires aux transmutations
- La présence d’activateurs spécifiques est nécessaire, sous
la forme de certaines enzymes ou certains minéraux dits rares (car notre corps
n’en possède que des traces) : on les trouve dans les graines germées, le
tamari ou le miso (soja fermenté) non pasteurisé, l’argile, les algues, l’ortie
et beaucoup d’autres plantes sauvages…
- Les cellules doivent avoir un potentiel électrique proche de
250 millivolts.
- Le terrain ne doit pas être saturé de toxines et oxydé, et
les émonctoires doivent fonctionner correctement.
Le
rythme vital de la respiration cellulaire
Les vraies causes de la déminéralisation
Le bioélectronicien Daniel Pinon
a rapproché le principe des transmutations à faible énergie de ses propres
travaux sur le rôle crucial de la
respiration cellulaire, qualifiée par lui de « clé de la compréhension
du vivant ».
La respiration cellulaire électrique : la cellule est une
pompe électrique aspirante et refoulante ; un mauvais voltage, une
inversion des polarités, engendrent un dysfonctionnement et un ralentissement
des liquides intra et extracellulaires. En cas de perturbation à ce niveau, la
cellule va compenser en activant deux pompes : Sodium (Na) / Potassium
(K), et Calcium (Ca) / Magnésium (Mg), au prix d’un déséquilibre minéral qui
n’est pas sans conséquences.
La respiration
cellulaire minérale : dans une cellule saine, il existe un équilibre
Mg/K ; dans la cellule malade, électriquement perturbée, cet équilibre est
rompu, le Mg est en carence et le K en excès. Si l’on apporte du Mg il reste en
carence et si l’on chélate (séquestre) le K, il reste en excès. Ce qui
s’explique par le fait que la cause du problème est en amont.
Constatant que le fait d’agir sur les minéraux ne rétablit
pas l’équilibre minéral, Daniel Pinon a conclu et démontré qu’il fallait
rétablir l’équilibre Oxygène (O2) / Hydrogène (H), autrement dit
baisser le rH2 ou désoxyder le terrain, pour redonner son rythme
vital à la respiration cellulaire.
Selon nos modes de vie nous engendrons des cercles vertueux
ou bien des cercles vicieux. A terme, il semble que nous n’ayons pas d’autre
choix que cette alternative.